7 janvier 1964 - Ouest-France
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La reconstruction comme elle va ... 32 logements du programme social de relogement du Mesnilcroc
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La reconstruction est pratiquement terminée ... La construction commence et les Saint-Lois en attendent beaucoup. ... les 32 logements P.S.R. qui ont démarré au début du mois de septembre à l'angle du Mont-Russel et de la rue du Mesnilcroc ...
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14 janvier 1964 - Ouest-France
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Le retour de la neige
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15 janvier 1964 - Ouest-France
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Une saison exceptionnelle doit marquer le renouveau de la société des courses de St-Lô
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S'il était transformé en parc des sports, l'hippodrome des Ronchettes offrirait de remarquables possibilités dans tous les domaines ... (Photo rédaction " Ouest-France ").
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15 janvier 1964 - Ouest-France
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Dans le quartier de Sainte-Croix, tels des champignons ...
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Rue de Verdun, un groupe de 16 logements sort de terre ; il fera suite aux 26 déjà construits (Photo rédaction " Ouest-France ").
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Rue du Neufbourg, des constructions modernes vont remplacer les vieilles maisons que l'on abat une à une (Photo rédaction " Ouest-France ").
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24 janvier 1964 - Ouest-France
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Un ensemble de 300 à 500 logements, route de Torigni, où le bâtiment A de la résidence sera habité au Printemps
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Le bâtiment A sera habité au printemps (Photo rédaction " Ouest-France ").
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28 janvier 1964 - Ouest-France
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L'aménagement du Carrefour de la Bascule
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L'état d'avancement des travaux (Photos rédaction " Ouest-France ").
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3 février 1964 - Ouest-France
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Bientôt un nouveau chantier à la Vaucelle : le Collège d'Enseignement Secondaire
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Le dernier baraquement de la Vaucelle en cours de démolition (Photo rédaction " Ouest-France ").
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... on a débarrassé totalement la Vaucelle des baraquements qui s'y trouvaient encore. Vendredi une équipe d'ouvriers s'est attaquée au démontage de la dernière baraque qu'occupait M. Ernest Cornu.
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7 février 1964 - Ouest-France
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Les baraques de la rue de Tessy s'en vont ... à leur place : des logements pour la garnison
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Les ouvriers de l'entreprise SONECO procèdent au démontage de l'une des baraques (Photo rédaction " Ouest-France ").
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Pour permettre aux Saint-Lois évacués lors des bombardements de leur ville de revenir dans leur cité d'origine, les pouvoirs publics avaient monté en différents points des baraques. Ce fut le cas des 13 constructions légères, type américain, qui ont permis jusqu'à ce jour d'abriter 17 familles.
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Or, tout dernièrement, à la suite d'une décision du Conseil municipal cédant le terrain pour la construction de logements destinés aux cadres de la garnison, il fut proposé, après relogement, la cessation par entente directe de ces baraques aux occupants.
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Quatre locataires ont décidé de conserver ce qui fut pendant plus de 10 ans leur maison ; on les a priés de procéder au démontage et à l'enlèvement. L'opération est en cours.
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Certaines de ces baraques seront remontées : les unes aux abords de la résidence Torigni, et d'autres dans différentes communes du département.
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Les neuf autres seront adjugées jeudi 13 février, en mairie de St-Lô, à 14 h 30.
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Les délais d'enlèvement étant d'un mois après l'acquisition par le nouveau propriétaire, la mise en état du terrain pour les futures constructions pourrait commencer aux environs du 15 mars ; faudra-t-il encore que les travaux envisagés soient eux aussi adjugés.
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Pour le moment, contentons-nous de présenter par l'image les opérations des premiers démontages.
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24 mars 1964 - Ouest-France
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Cette baraque va changer de place
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Cette baraque qui jusqu'ici abritait le concierge de la salle municipale des fêtes (théâtre provisoire) disparaît de son emplacement, rue de Verdun. Elle doit permettre de loger le gardien du stade qui vivait dans un appartement vétuste. En logeant M. et Mme Patin dans les locaux neufs du Théâtre Roger Ferdinand, la municipalité va pouvoir reloger du même coup M. et Mme Rambourg à l'entrée du stade. Nous sommes heureux de le constater, car il n'est pas si fréquent que le bonheur des uns fasse aussi le bonheur des autres (Photo rédaction " Ouest-France ").
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10 avril 1964 - Ouest-France
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Toilette de printemps et aménagements
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De même, après l'enlèvement de la baraque qui abritait les époux Patin, les ouvriers de l'entreprise Devaux, effectuent le nivellement de ce terre-plein qui, par la suite, sera garni d'arbres (Photo rédaction " Ouest-France ").
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17 avril 1964 - Ouest-France
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La fête de Grimouville se tiendra les 1er, 2 et 3 Mai
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Traditionnellement, la fête de Grimouville se tient le premier dimanche de mai.
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Cette année, elle bénéficie, du fait que le 1er mai est un vendredi.
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Pendant trois jours, du 1er au 3 mai, le quartier de Grimouville sera le théâtre d'une sympathique et agréable fête où les attractions ne manqueront pas.
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Le vendredi 1er mai, le samedi 2 et le dimanche 3 mai, à 21 h 30, tous les danseurs se retrouveront au cours d'un bal animé par un excellent orchestre.
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Une sauterie aura lieu par ailleurs à 15 heures, le dimanche.
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Outre le critérium de Grimouville, qui se court le dimanche matin, pendant les trois jours, la fête battra son plein.
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18 avril 1964 - Ouest-France
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Une maison disparaît, une cité va naître ... apportant 126 nouvelles habitations
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Au milieu d'un nuage de poussière, apparaissent les ruines de la maison abattue Cité du Houx (Photo rédaction " Ouest-France ").
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... Sur de terrain déblayé, l'entreprise va commencer la construction des quatre blocs de logements. Des pavillons individuels compléteront l'ensemble qui totalisera 126 habitations.
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30 avril 1964 - Ouest-France
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Notre ville - Demain - Manifestations
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Fête de Grimouville - Attractions diverses dans la cité.
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La Cité de Grimouville en fête les 1er, 2 et 3 mai
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Pour les enfants, la fête ce n'est pas seulement le jour, mais l'arrivée des forains et le montage des stands et des manèges est une attraction qu'ils suivent avec curiosité (Photo rédaction " Ouest-France ").
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C'est le 1er mai que débutera la traditionnelle fête du quartier de Grimouville.
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Les manèges qui arrivent et s'installent seront nombreux et les attractions ne manqueront pas. Si le soleil est de la fête, nul doute que le public se rendra en nombre dans l'enceinte de la cité où tout sera mis en oeuvre pour favoriser un accueil chaleureux. Outre les stands habituels, le visiteur pourra satisfaire sa gourmandise en dégustant les excellentes galettes normandes.
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Le soir du 1er mai, se déroulera un bal sur plancher couvert avec la participation d'un orchestre réputé.
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Le lendemain samedi 2, aura lieu également à 22 h. un bal, de même le dimanche 3, durant lequel les danseurs pourront évoluer sur la piste à 15 h. d'abord et à 21 h.
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Le dimanche matin, les sportifs pourront assister aux épreuves cyclistes du Grand Prix des Assurances Phénix et des Entrepôts Villemer, dont le départ sera donné à 10 h. 15.
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Durant les trois jours, la fête foraine battra son plein.
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2 mai 1964 - Ouest-France
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Notre ville - Aujourd'hui - Loisirs
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Cité Grimouville : fête du quartier avec attractions foraines.
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Notre ville - Dimanche - Divers
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Fête de Grimouville : 10 h 15, départ de la course cycliste : Prix des Assurances ; l'après-midi et le soir, fête foraine et attractions.
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4 mai 1964 - Ouest-France
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1er mai ensoleillé et joyeuse fête dans le quartier de Grimouville
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La foule dans les artères de la cité (Photo rédaction " Ouest-France ").
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Débutée l'après-midi du 1er mai, par un temps ensoleillé, la fête de la cité Grimouville a battu son plein pendant trois jours consécutifs.
Une foule considérable a pris d'assaut les attractions foraines parmi lesquelles nous avons noté le radio-cars, les balançoires de l' "Idéal-Sports ", les chamboule-tout, les tirs à la carabine, le manège d'enfants ainsi que les éventaires de marchands de cotillons, de poissons rouges et d'oiseaux, sans oublier le comptoir des cacahuètes et la traditionnelle buvette où chacun a trouvé à se rassasier avec les galettes de " t'che nous " ...
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Notons également la vente des pochette-surprise bien alimentées par les commerçants, les forains et les nombreux amis de la cité.
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Cette fête traditionnelle s'est terminée hier avec la course cycliste - le Grand Prix des Assurances - et par un bal de nuit.
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5 mai 1964 - Ouest-France
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A Grimouville, le soleil, puis les lampions ...
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Le vainqueur : Giot, de l'A.V.C. Saint-Lois, reçoit des fleurs et une coupe (Photo rédaction " Ouest-France ").
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On ne donnait pas " cher " dimanche matin, du succès de la Fête de la Cité Libre de Grimouville ! ... Un crachin épais, rendu plus pénétrant encore par le vent, tombait sur la ville et rien ne laissait prévoir une amélioration du temps.
Evidemment, cela n'était pas suffisant pour empêcher les amateurs de " vélo " de s'intéresser à la course cycliste qui constituait le " gros morceau " de la journée de dimanche ; et c'est un public très dense qui a assisté au départ de la course et que l'on a rencontré aussi sur le parcours. Il est vrai qu'un circuit assez court avait été prévu, par la route de Torigni, Condé-sur-Vire, le Ronceur, le Pont de Gourfaleur et la route de Tessy ... à couvrir trois fois pour un total de 75 kilomètres.
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Les curieux plus nombreux à l'arrivée
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Pour l'arrivée, les curieux furent plus nombreux. Ils assistèrent à la brillante victoire d'un sociétaire de l'Auto-Vélo-Club Saint-Lois : Giot, qui termina avec plus d'une minute d'avance sur son camarade de club Le Corre et le Cherbourgeois Bouley. Certes, l'Auto-Vélo-Club alignait treize coureurs au départ ; mais il faut considérer aussi qu'une cinquantaine de candidats à la victoire s'étaient rangés sous les ordres du starter, parmi lesquels d'excellents licenciés de Cherbourg, Granville, Périers, Torigni, Pont-Hébert, Caen, Vire, Bayeux, Falaise, Littry, Flers, etc ...
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A noter l'excellente organisation de l'Auto-Vélo-Club Saint-Lois avec le président Jamme, M. Fourré, Mme Jamme, MM. Saint, Junguené, Lavalley. L'arrivée fut jugée par M. Roussel. Le service d'ordre, en ville, fut assuré par la police et, " extra-muros ", par la gendarmerie.
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Le ciel se dégagea heureusement dans l'heure de midi ... De telle sorte que la fête foraine connut, en matinée comme en soirée, un gentil succès. Et sur le soir, les lampions se sont éteints sur les dernières ritournelles de la danse ...
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8 mai 1964 - Ouest-France
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Les travaux du Collège d'enseignement secondaire sont entrepris
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14 mai 1964 - Ouest-France
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Au Conseil municipal ... la ville emprunte 180.000 f. pour payer le terrain de Grimouville
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Sous réserve des résultats de l'examen du dossier réglementaire, la Caisse des Dépôts et Consignations serait disposée à consentir à la ville de Saint-Lô un prêt de 180.000 F pour une durée de vingt ans à un taux d'intérêt de 5,25 %..
Pour se libérer de la somme empruntée - la dépense couvrant notamment l'acquisition des terrains sur lesquels est construite la Cité de Grimouville - la ville paiera vingt annuités de 14.751,14 F comprenant le capital et les intérêts.
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19 mai 1964 - Ouest-France
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Avis divers
La Cité Libre de Grimouville organise le 31 mai un voyage au Mont Saint-Michel
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Départ à 6 h 45, petit-déjeuner à Saint-Hilaire-du-Harcouët.
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Visite du barrage de Vezins, arrivée à Beauvoir pour 11 h 30.
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Déjeuner, visite du Mont Saint-Michel, retour par la côte.
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Arrivée à Granville à 19 h, dîner.
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Retour sur Saint-Lô vers 22 h 30.
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Prix : 9 F aller et retour, repas non compris.
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Il reste quelques places disponibles : inscriptions et renseignements chez Mme Jacquot, 19, cité Grimouville, Saint-Lô.
.1er juin 1964 - Ouest-France
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Les clefs du premier bloc terminé à la Résidence Torigni ont été remises à leurs propriétaires
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Derrière le bâtiment A dont les clefs ont été remises, le bâtiment B en voie d'achèvement (Photo rédaction " Ouest-France ").
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17 juin 1964 - Ouest-France
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Encore des baraques qui disparaissent
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Poursuivant son travail de démolition des baraques existant encore à Saint-Lô, les services de construction procèdent en ce moment au démontage des maisons de bois qui se trouvent en bordure de la route de Coutances, à Agneaux, près de l'institut. Le travail est commencé depuis plusieurs semaines (Photo rédaction " Ouest-France ").
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22 juin 1964 - Ouest-France
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La Cité Libre de Grimouville organise un voyage les 4 et 5 juillet
La Cité Libre de Grimouville organise un voyage les 4 et 5 juillet
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L'association " Cité Libre de Grimouville " organise les 4 et 5 juillet un voyage sur Brest.
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L'association " Cité Libre de Grimouville " organise les 4 et 5 juillet un voyage sur Brest.
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Cette excursion est de préférence ouverte à des adolescents ; toutefois quelques grandes personnes sont admises.
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Le prix est fixé à 60 frs (6.000 anciens francs) pour le voyage : 3 repas (boisson non comprise), 1 coucher, 1 petit déjeuner.
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Renseignements et inscriptions de toute urgence, chez Mme Jacquot, 19, cité Grimouville, Saint-Lô (tél. 2-86).
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23 juin 1964 - Ouest-France
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Très beau succès de la Fête de la Jeunesse à laquelle ont participé près de 2.000 enfants des écoles publiques de Saint-Lô
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L'école du Bouloir (Photo rédaction " Ouest-France ")
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L'école de Grimouville (Photo rédaction " Ouest-France ").
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30 juin 1964 - Ouest-France .
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Qui veut aller à Brest et Concarneau ?
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L'Association d'Education Populaire " Cité Libre de Grimouville " à Saint-Lô organise les 4 et 5 juillet un voyage sur Brest et Concarneau.
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L'Association d'Education Populaire " Cité Libre de Grimouville " à Saint-Lô organise les 4 et 5 juillet un voyage sur Brest et Concarneau.
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Départ de Saint-Lô le 4 à 4 h. 45.
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Arrivée à Brest à 12 h. Après déjeuner, visite de l'Arsenal, du port, d'un bâtiment de guerre et de la ville.
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Arrivée à Concarneau par Quimper à 19 h. 30. Visite, diner, coucher. Le lendemain, visite de Quimper, pointe du Raz, déjeuner à Concarneau, puis Josselin, Ploërmel.
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Diner à Dinan à 19 h. 30.
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Retour pour St-Lô vers 22 h. 30.
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Il reste des places disponibles.
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Prix du voyage comprenant transport, 3 repas, petit déjeuner, coucher : 60 F.
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Les habitants de Coutances-Coutainville ou de la région peuvent participer au voyage ; le car assurant le transport quittera Coutainville à 3 h. 45.
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Au passage à Avranches ou à Villedieu, il serait possible de prendre des passagers.
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Pour tous renseignements et location, s'adresser d'urgence à Mme Jacquot, 19, cité Grimouville, Saint-Lô (tél. 2-86).
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14 septembre 1964 - Ouest-France
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Les jeunes Saint-Lois vont bientôt reprendre le chemin de l'école
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Une vue d'ensemble du chantier du C.E.G. (Photo rédaction " Ouest-France ").
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16 septembre 1964 - Ouest-France
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Deux nouvelles rues pour les habitants du quartier du Bouloir
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Cette nouvelle rue (rue Froide) dessert le bâtiment des Célibataires et les riverains du Boulevard de la Marne (Photo rédaction " Ouest-France ").
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Le chemin du Burel, transformé en voie de circulation normale (Photo rédaction " Ouest-France ").
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23 septembre 1964 - Ouest-France
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Les représentants des sociétés saint-loises ont établi le calendrier des bals pour la saison 1964 - 1965
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... le calendrier est arrêté comme suit :
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13 - 14 mars : Education Populaire de Grimouville,
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11 octobre 1964 - Ouest-France
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Tornade sur la Manche ... toitures arrachées ... sur le Champ de Mars de St-Lô où se prépare la Foire-Exposition, les stands tubulaires retournés par le vent ... .
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... Signalons notamment que dans le quartier de Grimouville, un vaste panneau d'affichage, qui protégeait un baraquement, a été arraché et s'est abattu sur la route ...
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Ce panneau protégeant un baraquement s'est plaqué sur la route ( Photo rédaction " Ouest-France "). Le baraquement, à l'entrée de la cité Grimouville, est le magasin de cycles, station-service de M. et Mme Jamme que le Ouest-France du 16 février 1965 nous permet de mieux retrouver. La pompe à mélange cyclomoteurs dont Ouest-France du 16 avril 1962 relatait le vol a elle aussi retrouvé sa place rue de Grimouville.
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12 octobre 1964 - Ouest-France
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Au lendemain de la tornade, grosse activité sur le Champ de Mars pour réparer les dégâts avant l'ouverture de la Foire-Exposition
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Les débris jonchent le sol de la place du Champ-de-Mars (Photo rédaction " Ouest-France ").
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A la cité Grimouville, les baraques sont découvertes (Photo rédaction " Ouest-France ").
A gauche, la baraque n° 15, bijouterie de Kortchinsky, familles Julien, Piton de 1956 à 1961, Mauger.
A droite, la baraque n° 14 des familles Lebas, Charruet, Garcia, Piton (de 1961 à 1967). Dans les grincements des pointes qui s'arrachaient sous la force du vent, le versant Ouest de la toiture, côté rue, s'était rabattu sur le versant Est et les 2 pans étaient tombés dans le jardin, retenus par un grand pommier. Nous avions apprécié l'intervention rapide, rassurante, des pompiers venus bâcher la baraque et ... l'ancien toit plat de la baraque d'origine avant le " chapotage " de 1948.
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22 octobre 1964 - Ouest-France
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Au Conseil municipal
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Cette salle fut, jusqu'en octobre 1963, le Théâtre provisoire des Saint-Lois. Il va disparaître. La page de toute une époque sera ainsi tournée (Photo rédaction " Ouest-France ").
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La ferme de Grimouville qui va disparaître pour permettre la construction du Lycée Technique et du lotissement de Grimouville (Photo rédaction " Ouest-France "). (Sur la gauche le portillon d'accès au " Château " de Grimouville).
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Le maire présente les projets ... pour l'arasement et le déblaiement : 1° de l'ancienne salle des fêtes (boulevard de Verdun) ;
2° des bâtiments de la ferme de Grimouville.
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La réalisation de ces travaux permettra : d'une part l'achèvement du boulevard de Verdun ; d'autre part l'exécution des obligations contractées par la ville à la suite de l'échange de parcelles intervenu entre la ville et la S.I.D.E.A.C., pour la réalisation du lycée technique et du lotissement de Grimouville.
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2° des bâtiments de la ferme de Grimouville.
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La réalisation de ces travaux permettra : d'une part l'achèvement du boulevard de Verdun ; d'autre part l'exécution des obligations contractées par la ville à la suite de l'échange de parcelles intervenu entre la ville et la S.I.D.E.A.C., pour la réalisation du lycée technique et du lotissement de Grimouville.
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27 octobre 1964 - Ouest-France
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Coup d'oeil sur la cité Langevin
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La cité Langevin dans laquelle la ville amène le courant électrique. Elle sera donc prochainement habitable (Photo rédaction " Ouest-France ").
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17 novembre 1964 - Ouest-France .
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Du haut de la rue de la Falaise
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"Du haut de ces pyramides " ... disait Napoléon ! Parodiant l'Empereur nous pourrions dire : " Du haut de la rue de la Falaise ... nous contemplons les chantiers " mitoyens " de la piscine et du C.E.G. " , et ce large panorama nous montre toute l'étendue des travaux en cours de part et d'autre (Photo rédaction " Ouest-France ").
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24 novembre 1964 - Ouest-France
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Noël Saint-Lois, Noël de joie ... sauf pour ceux qui n'ont pas de logement car le problème est plus douloureux que jamais
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Deux cages d'escalier de cet immeuble P.S.R. vont être livrées pour Noël ... (Photo rédaction " Ouest-France ").
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... Combien existe-t-il encore de baraques ? ... On doit bien en compter quatre cents, dont certaines ne sont pas en bon état ! Et si la plupart des Saint-Lois vivent heureux dans des maisons bénéficiant d'un confort cent fois supérieur à celui de l'avant-guerre, d'autres connaissent encore l'affreux chalet collectif pour ce qu'on est convenu d'appeler ... la nécessité ! (Traduire " chalet collectif " en " W.C. collectif " commun à plusieurs baraques, voire une partie de la cité).
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N'incriminons personne ... et plaignons nos concitoyens qui vont passer ces fêtes joyeuses dans des greniers, dans des garages, dans des caves, transformés en " meublés " ...
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26 novembre 1964 - Ouest-France .
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Les pelles mécaniques sont arrivées sur le coteau St-Georges où doivent être construits 161 appartements
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30 novembre 1964 - Ouest-France .
Demain le bourdon de Notre-Dame prendra place dans la cour du presbytère
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Demain mardi, au début de la matinée, le bourdon de Notre-Dame, qui ponctua tous les grands événements de la ville quittera le beffroi provisoire installé dans l'ancien jardin public pour prendre place dans la cour du presbytère Notre-Dame. C'est l'entreprise Hinard, de la rue de l'Exode, qui se chargera du déplacement du bourdon, sous la direction du service des Ponts et Chaussées (Photo rédaction " Ouest-France ")
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4 décembre 1964 - Ouest-France
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Le déplacement du bourdon n'a pas été chose aisée
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(Photo rédaction "Ouest-France ")
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5 décembre 1964 - Ouest-France
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Le bourdon a rejoint les autres cloches du carillon de Notre-Dame ... en attendant de regagner (dans 3 ans ?) leurs tours respectives
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Dernière image. Le bourdon va quitter le voisinage de la " Poterne " d'où il sonna le retour de la Préfecture (Photo rédaction " Ouest-France ")
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L'imposante cloche est posée sur le puits, dans la cour du presbytère, en attendant de reprendre place dans la tour de l'église (Photo rédaction " Ouest-France ").
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... posé sur le " puits " dans la cour du presbytère, il y a retrouvé ses quatre jeunes soeurs : Aurélie-Louise, Valérie-Marie-Henriette, Marie-Gabrielle et Henriette-Stéphanie ...
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... le bourdon va attendre sagement la mise en état des tours de Notre-Dame pour y reprendre sa place. Cela demandera sûrement trois bonnes années ...
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Les visiteurs ne lui manqueront pas d'ici là. Et plus d'un s'emploiera à déchiffrer les mentions en relief qui constituent une véritable " carte de visite ... ".
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" L'an 1732, j'ai été nommée par le très haut, très puissant et très illustre Prince Monseigneur Jacques-François-Léon Grimaldi, par la grâce de Dieu Prince Souverain de Monaco, Duc de Valentinois de Toutteville, Pair de France, Sire de Matignon, Comte de Thorigny, Lieutenant Général en la Province, Gouverneur des Villes et châteaux de Saint-Lô, Cherbourg, Grandville et de l'Isle du Chausey, assisté de Mlle de Monaco, sa fille.
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" Je suis l'horloge de la Ville de Saint-Lô. J'ay été fondue aux frais des propriétaires des maisons et terres de la bourgeoisie, sans exemption ny privilège, suivant l'arrest du Conseil d'Estat du 19 février 1732 et par les soins de MM. Charles Lemenuet, Sieur de Champeaux, Lieutenant Général ancien civil et criminel au Baillage et Maire de la Ville en cette partie ; Jean Lemenuet ; Jullien Le Roy de Boisbenard et Pierre Vincent Echevins ; et d'Alexandre Mauger sindic de la Ville.
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" Je ne dois estre sonnée que par les ordres desdits officiers qui me donnent un Gouverneur aux gages publics.
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" J'ai été bénite par M. Lefrançois P., curé séculier de Notre-Dame de Saint-Lô Com de l'ordre de Saint-Lazare ".
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Près de la " patte " - mot par lequel on désigne, croyons-nous l'extrémité inférieure de la cloche - on peut également lire :
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" La vois été faite en l'an 1430 et refondue en 1732 par le Brocard et A de la Paix Lorains ".
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7 décembre 1964 - Ouest-France .
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La dissolution de la Société Coopérative de Reconstruction a été prononcée au cours de l'assemblée générale extraordinaire
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Les assemblées générales (l'une ordinaire, l'autre extraordinaire) de la Société Coopérative de Reconstruction " Indépendance " ont eu lieu samedi à l'Hôtel de Ville ... 963 sociétaires étaient présents ou représentés sur 2.547 adhérents.
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... Le nombre de dossiers ouverts à " Indépendance " s'est élevé à 3.128. Au 31 décembre 1962, 1.862 avaient été apurés ; en 1963, 549 ont été réglés ; en 1964, 347 (au 30 septembre) ; de telle sorte qu'il n'en restera plus que 260 (environ) au 31 décembre, dont 150 débiteurs.
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... l'activité de la Coopérative Indépendance s'est exercée dans tout l'arrondissement, avec 1.286 dossiers de reconstruction et 1.842 de réparations. La plupart des municipalités sinistrées lui ont d'ailleurs confié leurs dossiers de dommages de guerre.
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... la mission de reconstruction se trouve complètement achevée et le moment est venu de mettre fin à une activité de seize années ...
La coopérative " Indépendance " sera dissoute à la date du 31 décembre 1964 ...
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Une grande page est tournée ...
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Les ruines causées par la guerre sont maintenant effacées ... . (Le 14 décembre 1963, Ouest-France relatait la dissolution de la coopérative de reconstruction " Liberté " ; au début 1965, seule subsistera l'Association Syndicale de Reconstruction).
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17 décembre 1964 - Ouest-France .
Les H.L.M. s'installent dans leur définitif
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(Photo rédaction " Ouest-France ").
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21 décembre 1964 - Ouest-France
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Dans la féerie de la ville-lumière, le Père Noël a fait son entrée à Saint-Lô
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Samedi à 17 h. 30, comme prévu ont débuté les illuminations saint-loises et le chef-lieu de la Manche est vraiment, depuis cet instant, la ville-lumière du département : une véritable féerie qui a fait déferler de toute la région un flot ininterrompu de véhicules et de visiteurs.
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La participation de la ville, outre celle du Comité des fêtes et des quartiers commerçants est sensationnelle. Les motifs lumineux animés donnent une vie intense à ce déferlement magique de lumière.
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Hier dimanche, Saint-Lô a accueilli le Père Noël en grandes pompes. Nous reviendrons sur cette manifestation qui augure bien de cette fin d'année qui concrétisera désormais à coup sûr le caractère de capitale départementale de la ville de Saint-Lô. Le soleil quasi-printanier, malgré le vent froid très vif de cette journée, a beaucoup contribué à son plein succès populaire (Photo rédaction " Ouest-France ").
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La participation de la ville, outre celle du Comité des fêtes et des quartiers commerçants est sensationnelle. Les motifs lumineux animés donnent une vie intense à ce déferlement magique de lumière.
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Hier dimanche, Saint-Lô a accueilli le Père Noël en grandes pompes. Nous reviendrons sur cette manifestation qui augure bien de cette fin d'année qui concrétisera désormais à coup sûr le caractère de capitale départementale de la ville de Saint-Lô. Le soleil quasi-printanier, malgré le vent froid très vif de cette journée, a beaucoup contribué à son plein succès populaire (Photo rédaction " Ouest-France ").
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22 décembre 1964 - Ouest-France
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Dans la féerie de la Ville-lumière, le Père Noël fait désormais chaque jour des heureux
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Dans la féerie de la Ville-lumière, le Père Noël fait désormais chaque jour des heureux
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Sur le Champ de Mars, le Père Noël, monté sur son char, était déjà très entouré dès son départ (Photo rédaction " Ouest-France ").
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29 décembre 1964 - Ouest-France
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Les visites du Père Noël
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En l'absence de la maman, les enfants de Mme Renée ont reçu la pleine hotte de cadeaux du Père Noël (Photo rédaction " Ouest-France ").
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Le Père Noël continue ... de visiter, un par un, les quartiers de la ville de Saint-Lô.
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C'est ainsi que samedi soir il a parcouru les rues de la cité Verte, de la route de Bayeux et de la cité Forêt-Noire ainsi nommée parce que les baraquements qui la composent sont issus des bois de la forêt du même nom.
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Et le Père Noël Saint-Lois a fait de nouveaux heureux, en l'occurrence une famille qui le méritait bien, puisque, à la première porte où il frappa, il trouva cinq bougies allumées, elles représentaient le nombre de personnes vivant habituellement au foyer de Mme Renée, au 30 de la cité Verte.
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