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L'un des derniers vestiges du vieux Saint-Lô va disparaître
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Regardez bien cette image : d'un jour à l'autre elle va disparaître. Les démolisseurs vont passer par là (Photo rédaction " Ouest-France ").
Ceux-ci viennent d'emménager cette semaine dans l'immeuble à usage commercial qui a été édifié à quelques mètres de là, en retrait du carrefour.
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" L'ilot à rénover " est ouvert
(Photo rédaction " Ouest-France "). (Vue étonnante depuis " Le Remblai " (Avenue de Verdun) en direction du boulevard de la Dollée. Le véhicule stationne devant le n° 707 du boulevard de la Dollée, l'axe de la vallée deviendra la montée du Bois-André avec, sur la gauche les immeubles de la Dollée et sur la droite la C.P.A.M.).
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(La ferme de Grimouville peu avant (Ouest-France du 22 octobre 1964)).
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Le concert le plus populaire et le plus plaisant de l'année ... devrait aussi rassembler une assistance record : il est gratuit. Il compte sur scène, au final, 200 exécutants, et ce final sera la création de la Marche de Saint-Lô qui a reçu pour titre définitif : " Les remparts de Saint-Lô ". Elle sera jouée par la musique municipale, la fanfare des pompiers, les chorales rassemblées du lycée Le Verrier et de l'école municipale de musique.
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.Chantons ensemble La marche qui nous rassemble Chantons ensemble C'est la marche de Saint-Lô ! La mine altière Fiers enfants, fils de Briovère La main dans la main Tous vers demain Clamons notre refrain !
http://www.dailymotion.com/momesdegrimouville en accompagnement sonore de la visite du Père Noël de 1956.
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.(Clique) Quand dessus nos tours crénelées, la ventée, fait claquer nos étendards, de notre histoire, une bouffée est enrobée dans leurs plis pour notre gloire. (Clique) La silhouette déchiquetée, mutilée, du clocher de Notre-Dame, témoigne les douleurs passées ; pourtant "Espoir" est le seul mot que l'on proclame. (Clique) Chantons ensemble c'est la marche qui nous rassemble ; chantons ensemble c'est la marche de Saint-Lô. (3 claquements de mains) La mine altière fiers enfants, fils de Briovère ; la main dans la main, tous vers demain clamons notre refrain (Clique) (reprise du refrain) Chantons ensemble c'est la marche qui nous rassemble ; chantons ensemble c'est la marche de Saint-Lô. (3 claquements de mains) La mine altière fiers enfants, fils de Briovère ; la main dans la main, tous vers demain clamons notre refrain (final) la main dans la main, tous vers demain clamons notre refrain.
7 avril 1965 - Ouest-France
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Notre dimanche
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La seconde organisation du Palet Saint-Lois dans les dépendances du café-restaurant Montel (Photo rédaction " Ouest-France ") (et précédemment de M. et Mme Lebas en ajoutant les activités de forgeron et de maréchal-ferrant. La cour servait à la garde des voitures et chevaux les jours de foires et marchés et ... à l'installation des auto-tamponneuses lors des fêtes du quartier de Grimouville. En arrière-plan à gauche, la baraque n° 13, boulangerie de M. et Mme Lemoine puis habitation de la famille Dudouit).
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16 avril 1965 - Ouest-France
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La mise en état des terrains de la future " Résidence Grimouville "
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30 avril 1965 - Ouest-France
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7 mai 1965 - Ouest-France
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" Hêtre ... ou ne pas être ! "
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8 juin 1965 - Ouest-France
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La grande offensive de la construction est lancée dans l'îlot " Dollée-Roquette "
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14 juin 1965 - Ouest-France
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Avis divers
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Voyage à Paris
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28 juin 1965 - Ouest-France
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Au vin d'honneur, Mme Dubois-Letenneur tint à être entourée, pour cette photo qui marquait l'acte final de la reconstruction de Saint-Lô, ... (Photo rédaction " Ouest-France "). (Après la dissolution des coopératives de reconstruction " Indépendance " et " Liberté " cette date marque la fin de la gestion des fonds de dommages de guerre et de la reconstruction de Saint-Lô).
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3 juillet 1965 - Ouest-France
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Notre ville - Dimanche - Loisirs
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Voyage éducatif à Paris avec la Cité Libre de Grimouville
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5 juillet 1965 - Ouest-France.
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Notre ville - Aujourd'hui - Divers
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Voyage éducatif à Paris avec la Cité Libre de Grimouville
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7 juillet 1965 - Ouest-France
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La grande offensive de la construction est lancée dans l'îlot Dollée-Roquette ; trois tours vont apporter 129 appartements en accession à la propriété
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L'emplacement de la première " tour " est indiqué à la chaux sous les bâtiments de l'Ecole Normale, près de l'immeuble P.S.R. entrepris par l'Entreprise Zénone et sensiblement sur les lieux où s'élevait l'hôtel des Glycines (Photo rédaction " Ouest-France ").
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La seconde tour s'élèvera de l'autre côté de l'immeuble Zénone, sous l'immeuble des 161 appartements. La baraque de chantier est déjà implantée et les ouvriers montent les palissades de chantier (Photo rédaction " Ouest-France "). (Dans l'axe de la photo, la future place de l'Arc-en-Ciel ; à droite, derrière la baraque de chantier, l'habitation n° 4 rue du Pré-de-Haut).
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12 juillet 1965 - Ouest-France.
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Le voyage éducatif de " la Cité Libre de Grimouville " à Paris
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Les enfants de l'Association de Grimouville, dans un car très confortable, ont traversé la Normandie en direction de Paris, via Lisieux où fut pris le petit déjeuner après la visite de la basilique.
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Tout le petit monde arrivait à Versailles pour 10 h. 30.
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Ce fut la visite du château et il n'est pas besoin de souligner l'ébahissement de tous les enfants devant les somptueuses salles depuis la galerie des glaces, à la chambre de la Reine en passant par celle du Roi. Et les jardins à la française !
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Après le déjeuner, les enfants se retrouvèrent au Palais de la Découverte. Leurs yeux étaient trop petits pour contempler le monde de la Science et notamment le planétarium. Puis au Musée Grévin qu'ils visitèrent ensuite les enfants firent connaissance avec les personnages de cire.
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Après diner une visite à l'aéroport d'Orly s'imposait ; toutes les 3 ou 4 minutes les enfants purent voir atterrir ou décoller les caravelles et autres " oiseaux de l'espace".
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Puis une excursion " Paris by night " clôtura cette première journée. Quelle féerie lumineuse !
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Le lendemain, l'Ile de la Cité, Notre-Dame de Paris, la Sainte Chapelle, la Conciergerie, la Cour de Cassation furent, sous la conduite d'un guide très averti, tour à tour, l'objet de la visite des excursionnistes qui passèrent en outre par les vieux quartiers de la place des Vosges, puis le quartier latin, Panthéon, Sorbonne, etc ...
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L'après-midi fut marquée par la visite de la Maison de la Radio, et la Butte Montmartre fut prise d'assaut afin d'emporter de cet endroit une vue panoramique de Paris.
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Après un dernier repas, il fallut reprendre le chemin du retour. A 1 h. 40, mardi matin, le car s'immobilisait dans la cité.
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Tous les participants ont conservé de cette excursion un souvenir inoubliable.
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3 juillet 1965 - Ouest-France
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Notre ville - Dimanche - Loisirs
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Voyage éducatif à Paris avec la Cité Libre de Grimouville
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5 juillet 1965 - Ouest-France.
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Notre ville - Aujourd'hui - Divers
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Voyage éducatif à Paris avec la Cité Libre de Grimouville
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7 juillet 1965 - Ouest-France
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L'emplacement de la première " tour " est indiqué à la chaux sous les bâtiments de l'Ecole Normale, près de l'immeuble P.S.R. entrepris par l'Entreprise Zénone et sensiblement sur les lieux où s'élevait l'hôtel des Glycines (Photo rédaction " Ouest-France ").
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La seconde tour s'élèvera de l'autre côté de l'immeuble Zénone, sous l'immeuble des 161 appartements. La baraque de chantier est déjà implantée et les ouvriers montent les palissades de chantier (Photo rédaction " Ouest-France "). (Dans l'axe de la photo, la future place de l'Arc-en-Ciel ; à droite, derrière la baraque de chantier, l'habitation n° 4 rue du Pré-de-Haut).
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12 juillet 1965 - Ouest-France.
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Le voyage éducatif de " la Cité Libre de Grimouville " à Paris
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22 juillet 1965 - Ouest-France
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La " Marche de Saint-Lô " ? ... ça marche ! ...
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(Collection Frédéric Piton)
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C'est réellement une excellente initiative qui a été prise par le comité des fêtes d'éditer un disque de nos sociétés musicales et chorales comprenant notamment la marche de Saint-Lô : " Remparts de Briovère ". Ce disque 33 tours (10 F) s'est enlevé ... comme des petits pains lors des fêtes du Cotentin. Sur les cinq cents, il n'en reste plus que 80 ! Aux retardataires de se procurer ce disque chez M. Columeau ou au café Legrix, rue du Docteur-Leturc, ainsi qu'aux maisons Leclaire et Marion, disquaires (Photo rédaction " Ouest-France ").
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26 juillet 1965 - Ouest-France
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La foire de la Madeleine
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.Une vue d'ensemble du champ de foire garni de bestiaux et de déballeurs (Photo rédaction " Ouest-France ") ... (avant " la Plage Verte " de 2010 !)
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Cette foire ... s'est déroulée sur le quai à Tangue, le Champ de Mars étant réservé aux nombreux forains venus s'installer pour la fête populaire de l'après-midi ...
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30 juillet 1965 - Ouest-France
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L'ancienne clinique du Docteur Brisset et le café Brillant, de la rue du Neufbourg en voie de démolition
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Les pans de mur du vieil immeuble sous les coups des démolisseurs (Photo rédaction " Ouest-France ").
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Pour les Saint-Lois qui ont connu la ville d'avant 1939, ils se souviennent sans doute des constructions élevées en bordure des rues actuelles : Neufbourg et Le Verrier.
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Pour ceux qui sont revenus ou se sont installés après la libération, ils ont certainement remarqué ce bloc de constructions qui, à certaines périodes, a été occupé soit par des propriétaires, soit par des services administratifs.
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En effet, le café Brillant, plus connu sous l'enseigne de " Café de l'Union " était encore ces derniers temps, occupé par l'Association Syndicale de Reconstruction, cependant que l'ancienne clinique du Docteur Brisset, ayant abrité pendant plusieurs années la Banque de France, était devenue annexe pour quelques internes du Lycée Le Verrier.
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A la suite de délibérations du Conseil municipal, une entente était intervenue pour échanger cet îlot qui fut cédé à la Mutualité Agricole.
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La Direction de ce dernier établissement, dont les services sont actuellement dans un bâtiment trop exigu, fait procéder à la démolition des immeubles, en partie vétustes, situés rues Le Verrier et du Neufbourg.
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... voilà encore un coin de la ville qui va connaître l'embellissement souhaité.
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7 août 1965 - Ouest-France.
Images saint-loises ; le dernier pan de la masse
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Il y a quelques jours à peine nous avions publié la photo des débuts de la démolition de tout un " pâté " de maisons du vieux Saint-Lô, de la rue du Neufbourg à la rue du Maréchal-Leclerc, en bordure de la rue Le Verrier. Cette démolition prélude à la construction d'un immeuble de la Mutualité. Mais il sera plus long de construire que de démolir car dès jeudi nous avons pu voir tomber (notre photo) le dernier pan de mur (Photo rédaction " Ouest-France ").
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27 août 1965 - Ouest-France
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Dans les baraques vieilles de 20 ans de l'ancien " Hôpital Irlandais ", huit classes et un atelier vont ouvrir à la mi-septembre pour les " Papillons Blancs "
La rentrée des Papillons Blancs va se faire dans un petit groupe de baraques de l'ancien Hôpital Irlandais auxquelles on accédera par la route de Torigni (Photo rédaction " Ouest-France ").
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15 septembre 1965 - Ouest-France
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Le concours du Palet-Club Saint-Lois
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De nombreux participants au concours du Palet-Club Saint-Lois organisé autour du boulevard de la Dollée (Photo rédaction " Ouest-France "). (Au centre, la future place de l'Arc-en-Ciel, à droite, le n° 50, Montée du Bois André).
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16 septembre 1965 - Ouest-France
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Au pied de la rue Saint-Georges ... les anciennes maisons disparaissent
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Les maisons de la rue Porte-au-Four en cours de démolition (Photo rédaction " Ouest-France ").
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17 septembre 1965 - Ouest-France
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Pour le C.E.S. de " La Vaucelle " rentrée reportée au vendredi 24 septembre
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Au premier plan, le bâtiment d'internat. Au fond, les cuisines et réfectoires qui vont être terminés pour la rentrée (Photo rédaction " Ouest-France ").
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21 septembre 1965 - Ouest-France
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Pas d'évêque ni de procession des reliques pour la fête de Saint-Lô
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Les paroissiens de Notre-Dame sont impatients de retrouver intégralement leur église. Mais, se souviennent-ils des temps, plus difficiles encore, où un modeste baraquement en bois tenait lieu d'église, en attendant le déblaiement et la mise hors d'eau de Notre-Dame ? (Photo rédaction " Ouest-France ").
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30 septembre 1965 - Ouest-France
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Grand concours foire-exposition de Saint-Lô
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Le vaste Champ-de-Mars de Saint-Lô est bien l'emplacement idéal (et comme on en trouve peu par ailleurs) pour servir de cadre à la grande manifestation ... (Photo rédaction " Ouest-France "). (On observe notamment la situation de l'ancienne salle des fêtes au nord de l'immeuble des 138 logements).
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C'était le 9 octobre dernier, tandis que l'on préparait la Foire-Exposition. A 14 h. 15, la tornade passa en tourbillon sur le Champ-de-Mars ; ce fut un désastre (Photo rédaction " Ouest-France ").
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4 octobre 1965 - Ouest-France
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La Cité du Houx change d'allure
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.Le premier immeuble de la cité du Houx apparaît actuellement sous son aspect définitif : emménagement dans deux mois (Photo rédaction " Ouest-France ").
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La Cité du Houx est certainement l'une des cités de baraques de Saint-Lô dont la persistance s'avère désormais regrettable étant donné l'état de vétusté auquel sont parvenus ces locaux. Mais progressivement ces baraques vont disparaître dans les années à venir pour faire place à l'un des quartiers résidentiels les plus agréables de la ville.
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22 octobre 1965 - Ouest-France
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De nouvelles constructions route de Tessy ; les logements militaires commencés le 1er avril seront terminés fin juin 1966
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Ces deux " plots " abriteront, au mois de juillet 1966, trente-deux familles de militaires ( Photo rédaction " Ouest-France "). (Voir la suite le 7 avril 1966).
Les premières pierres tombent dans un nuage de poussière (Photo rédaction " Ouest-France "). (On constate que la Remonte obstruait la rue du Vieux-Haras).
... Cette année c'est encore mieux ! (Photo rédaction " Ouest-France "). (Vue de la rue Havin).
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Ceux-ci se construisent à droite de la route de Tessy, où se trouvait voilà un an, une cité de baraques et, par la C.I.L.O.F. (Compagnie Immobilière pour le logement des fonctionnaires civils et militaires), laquelle intervient sur demande de l'armée pour les logements militaires et des pouvoirs publics pour les autres fonctionnaires.
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29 octobre 1965 - Ouest-France
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On démonte ... la Remonte
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.Les premières pierres tombent dans un nuage de poussière (Photo rédaction " Ouest-France "). (On constate que la Remonte obstruait la rue du Vieux-Haras).
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L'intérêt que les vieux Saint-Lois portent à la Remonte peut sembler exagéré - sinon puéril - aux jeunes générations. Ils ignorent sans doute - et pour cause - que ce dépôt recevait autrefois les chevaux achetés par l'armée. La circonscription d'achat devait, croyons-nous, se limiter au département de la Manche ... Les chevaux étaient destinés à la cavalerie et à l'artillerie ; un millier environ étaient achetés tous les ans, notamment le " poids lourd ", qui était le cheval du " cuirassier ". Ces chevaux restaient un certain temps au dépôt de Saint-Lô avant d'être livrés dans les corps de troupe.
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Notons aussi quelques destinations imprévues :
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Le 20 juillet 1870, la déclaration de guerre contre l'Allemagne fut annoncée ... C'est l'époque aussi où une petite fabriques de cartouches - occupant une soixantaine d'ouvriers - fut installée dans les bâtiment de la Remonte.
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En 1874, le 25 avril, la ville de Saint-Lô fut désignée comme siège d'une Subdivision militaire
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... ce qui manquait déjà en 1874, pour accueillir les premiers détachements du 136è régiment d'infanterie, c'était ... une caserne ! ...
Et, en attendant qu'elle soit terminée (le 11 avril 1876), des locaux de la Remonte furent utilisés ... et le 136è R.I. logé dans la Halle aux Grains, sous l'ancien Théâtre municipal !
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En 1940, hélas ! la Remonte fut entourée de barbelés et devint un camp de prisonniers français. Si un certain nombre de ceux-ci peuvent relater les extraordinaires conditions dans lesquelles ils s'évadèrent, il n'empêche que la plupart furent envoyés en Allemagne.
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29 octobre 1965 - Ouest-France
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L'ancien et le nouveau
L'ancien et le nouveau
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L'une après l'autre, les maisons du Quartier du Pré de Haut disparaissent. Derrière elles, poussent les constructions nouvelles ... Ici, derrière la maison de Mme Briez (que démolit M. Herbert), on aperçoit l'important immeuble de 161 appartements que réalise l'entreprise Roalès (Photo rédaction " Ouest-France "). (Nouvelle vue étonnante de la place de l'Arc-en-Ciel, au pied de l'immeuble compris entre la Montée du Bois-André et la rue des Clos).
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8 novembre 1965 - Ouest-France
8 novembre 1965 - Ouest-France
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Le maire et plusieurs personnalités ont visité " l'Envol " ou 80 petits " papillons blancs " trouvent une formation inespérée
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C'est une visite émouvante, bouleversante même par moments dans sa simplicité, à laquelle nous étions conviés, vendredi, dans les baraquements de l'ancien C.E.G. de la rue de Torigni. On sait que, depuis la rentrée scolaire, " l'Envol " a quitté la " Remonte " où il était installé, pour permettre la démolition de ce vétuste bâtiment et l'oeuvre a été installée dans ces nouveaux locaux pour un nouveau " stage provisoire ", puisqu'une belle école neuve va être construite près du pensionnat Saint-Sauveur, chemin des Buaux, où le bulldozer est déjà passé préparer le terrain
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13 novembre 1965 - Ouest-France
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A peine démolies, les maisons vétustes de la rue Porte-au-Four vont être remplacées par 30 logements P.S.R.
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A l'emplacement des maisons vétustes va s'élever un immeuble de 30 appartements. M. Nicolaï est en train d'en préparer l'implantation ... Au premier plan : les travaux de voirie actuellement entrepris (Photo rédaction " Ouest-France ").
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17 novembre 1965 - Ouest-France
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L'expansion de Saint-Lô, en longueur, en largeur ... et en hauteur
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Derrière les P.S.R. que termine l'Entreprise Zénone, pousse l'immeuble H.L.M. de l'entreprise Roalès. Entre les 5 étages du premier et les 7 du second, s'intercale la " Tour n° 2 " qui comptera 10 étages et détiendra, jusqu'à nouvel ordre, le record pour Saint-Lô (Photo rédaction " Ouest-France ").
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18 novembre 1965 - Ouest-France
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Les derniers jours ... de la " Remonte "
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L'état d'avancement des travaux de démolition de la Remonte (Photo rédaction " Ouest-France ").
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27 novembre 1965 - Ouest-France
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Depuis plusieurs semaines, une entreprise travaillait à la démolition de la " Remonte " rue des 25è et 39è Divisions. Ce n'est pas sans mélancolie, malgré son extrême vétusté, que les vieux Saint-Lois ont vu disparaître ce témoin des jours anciens. Mercredi à 16 h., nous avons assisté à la dernière seconde du dernier pan de mur. Il penche ... il va tomber ... il tombe (Photo rédaction " Ouest-France ").
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9 décembre 1965 - Ouest-France
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Le réseau d'alimentation en eau de la zone à rénover ...
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La construction de la zone à rénover est entreprise ... Mais il faudra l'alimenter en eau (Photo rédaction " Ouest-France "). (A droite, pratiquement la même vue dans le "Ouest-France" du 27 novembre 1976).
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17 décembre 1965 - Ouest-France
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Hier ont débuté les fameuses illuminations Saint-Loises
.... Cette année c'est encore mieux ! (Photo rédaction " Ouest-France "). (Vue de la rue Havin).
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21 décembre 1965 - Ouest-France
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Un Père Noël sous un parapluie ! ... mais le Noël Saint-Lois fut quand même un Noël de joie quand même !
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Le passage du défilé rue Maréchal-Leclerc (Photo rédaction " Ouest-France ")..
27 décembre 1965 - Ouest-France
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Beau doublé du Père Noël pour ses visites de jeudi et vendredi
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Vendredi soir le Père Noël était à la Cité du Houx dans la famille Desroches (Photo rédaction " Ouest-France ").
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Pour le soir de Noël, le Père Noël du Comité des Fêtes eut une très délicate pensée : il décida de se rendre dans un quartier de Saint-Lô qui ne devait pas l'espérer en une telle journée et se croire condamné d'avance à être oublié : la Cité du Houx !
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Sous cette pluie battante, en effet, le chemin d'accès était devenu un véritable marécage et il fallait vraiment le vouloir pour s'y aventurer.
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En outre, c'est une des plus petites cités de baraques de Saint-Lô et l'on aurait involontairement tendance à ne pas y penser.
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Et c'est pourtant là que le Père Noël est allé.
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Il a frappé à une première porte d'une baraque où il y avait bien des bougies, mais, hélas, pas assez !
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Alors il a frappé à une seconde porte, celle de Mme et M. Desroches. Le hasard, une fois de plus, a bien fait les choses.
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A ce N° 4 de la Cité du Houx il trouva quatre petites filles de 8, 6 et 4 ans et une de 9 mois, qui regardèrent, ébahies, le Père Noël entrer chez elles ...
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30 décembre 1965 - Ouest-France
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Le père Noël a visité la Cité Noire
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Mme veuve Attalah et ses neuf enfants entourant le Père Noël (Photo rédaction " Ouest-France ").
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Poursuivant ses visites à travers les quartiers, le Père Noël du Comité des fêtes s'est rendu mardi soir dans la Cité de baraques appelée " Cité Noire ", où la venue du Père Noël a été appréciée de beaucoup d'enfants, surtout ceux dont les parents sont obligés de vivre dans un logement restreint.
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La visite effectuée mardi dans une famille de dix personnes : la maman, veuve depuis quelques mois, et ses neuf enfants, âgés de 17 mois à 14 ans, a été pour le Père Noël et ses accompagnateurs une découverte de ces douloureux cas d'espèces.
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Si le bon vieillard, par les quelques minutes passées dans la baraque abritant cette famille, a apporté un peu de joie, il serait bon que celle-ci ne reste pas sans lendemain et que les services intéressés se penchent sur le problème d'un logement humain.
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C'est croyons-nous, ce qu'il faut souhaiter à cette maman pour le Noël prochain.
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